Initié en 2014, le Prix littéraire SPG du premier roman romand récompense une première œuvre littéraire d’un auteur romand, rédigée en langue française, éditée par une maison d’édition suisse. Ce prix a pour but de promouvoir la création littéraire romande et sa diffusion, d’encourager de nouveaux auteurs romands, et de soutenir l’édition romande ainsi que ses acteurs.
Pour cette 7e édition, dix-neuf premiers romans étaient en lice pour concourir au Prix littéraire SPG du premier roman romand, qui a déjà consacré des auteurs tels que Marc Voltenhauer pour Le Dragon du Muveran aux éditions Plaisir de Lire, Elisa Shua Dusapin pour Un hiver à Sokcho aux éditions Zoé ou encore récemment Claire May pour son premier roman Oostduinkerke aux éditions de l’Aire.
Âpre et rude est la vie à Rocca Patrizia ; frustres et obtus sont ses habitants. Dans cette atmosphère où l’on s’observe, se toise et se jalouse évoluent les familles du village. Leurs liens, complexes, se dévoilent subtilement au fil du temps. Les enfants, eux, se retrouvent dans une dimension parallèle, celle où les amours interdites se tissent, à l’abri du regard des adultes.
Genève 1939 : l’Europe va s’enflammer sous la menace hitlérienne et pourtant, la joyeuse bande d’étudiants ne s’en soucie pas trop. Faire la fête jusqu’à l’aube, draguer des filles et, accessoirement, réussir les examens, voilà ce qui les occupe. Mais Michel a un souci supplémentaire : il est pauvre et ses copains sont riches. Pour se hisser au-dessus de sa condition, l’étudiant désargenté commet l’impardonnable: il vole un Picasso appartenant à une famille de fugitifs juifs allemands et précipite en enfer Daniel, Judith et la petite Sarah. Rongé par la culpabilité, il se mettra alors en quête de rédemption, dans un voyage au plus noir de la nuit.
Raoul est un enfant solitaire, joyeux, mais en retrait. Dans la campagne espagnole de Franco, il joue dans les ruisseaux sans s’inquiéter de politique. Ce n’est que lorsque ses parents, instituteurs, décident de fuir le pays pour tenter leur chance dans un exil helvétique, qu’il se retrouve confié à ses grands-parents. Sur fond de guerre civile, au loin, très loin, Geronimo – puisque c’est ainsi qu’il voit son « Abuelo » – prend le temps de lui enseigner la vie. Tel un Indien ; au plus proche de la nature. Les hommes et leurs folies martiales, ils les gardent à distance, soucieux d’écouter le silence et de se forger une identité propre.
Maiko se réveille dans une clinique de Bruxelles, une mystérieuse cicatrice au bas du dos et un souvenir lancinant dans sa mémoire en vrac : celui d’une adolescence heureuse à Hong Kong, brisée le jour où son père, microbiologiste de génie, a été porté disparu. La jeune femme entreprend alors de se reconstruire et se jette à corps perdu sur les traces de son père. Même s’il lui faut arpenter les quatre coins du monde en hôtesse de l’air, talonnée par d’inquiétants poursuivants.
Nous tenons à remercier chaleureusement les membres du jury de leur engagement pour la création littéraire romande.
En raison de la situation sanitaire actuelle, le nom du lauréat du Prix littéraire SPG du premier roman romand 2020 sera annoncé en ligne, sur notre site Internet et nos réseaux sociaux – Facebook et Twitter –, le jeudi 4 juin.
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